5/12/2021
Rien n’est plus odieux que ces personnes qui se cachent derrière l’antiracisme et une prétendue lutte contre les discriminations pour détruire notre pays par la révolution « woke » et racialiste. Des manifestations, parfois, mais surtout d’insidieuses pressions quotidiennes dénoncent les « privilèges blancs » et mobilisent contre les Français « esclavagistes » et « colonialistes ». Des cris hystériques, comme « mort aux blancs », et autres messages haineux se développent dans le courant « progressiste » et des universités.
Les dirigeants, professeurs et chefs d’entreprise, sous les coups de boutoir, cèdent chaque jour davantage de terrain. Un nouveau vocabulaire, composé de mots « genrés » et « ethnicisés », est imposé au sein des instances gouvernementales, de nos institutions et des ministères, qui par leur inaction et le refus de faire des vagues, se laissent ridiculiser et dicter les nouvelles lois qui bafouent et méprisent l’autorité. La lâcheté des dirigeants mène la France vers le chaos. Les politiciens n’ont pas d’envergure, le système électif ne leur permet pas de se projeter plus de quelques années dans le futur. La démocratie française, les règles européennes et l’Etat de droit sont les instruments qui, habilement détournés par les politiciens woke-collabos, vont tuer la démocratie et l’Etat de droit.
Les manuels scolaires, le monde intellectuel et artistique qui se veulent modernes et à la pointe de l’évolution, comme les médias et les entreprises, sont gangrenés par la tyrannie du langage « convenu » des bobos islamo-gauchistes qui attisent les détestations qui divisent nos compatriotes et obstruent la liberté d’expression.
Le communautarisme, que les politiciens félons laissent se mettre en place, détruit l’unité nationale, rendant les lois françaises inférieures à la charia (lois de l’Islam). La victimisation des minorités est exacerbée jusqu’au délire. Ce nouveau monde est basé sur la division pour mieux imposer et mettre en place une dictature qui tôt ou tard versera le sang des Français, sans état d’âme, car le discours ambiant déculpabilise les futurs assassins en les dédouanant par le sentiment d’un juste châtiment contre les blancs hétérosexuels !
La civilisation est en danger. Les antiracistes autoproclamés sont en fait les pires racistes, par leur acharnement à définir les hommes par leur couleur de peau ou leur ethnie. Comment s’assimiler si l’on est réduit à ses spécificités physiques ? Vouloir la discrimination positive est la pire des ségrégations. Les quotas sont, par essence, discriminatoires alors que le mérite est juste et valorisant. A force de détestation de la France, au plus haut sommet de l’Etat, l’assimilation devient impossible. Des sociétés, clans ou communautés se développent parallèlement sur une même terre, mais ne peuvent pas vivre ensemble, ne se comprennent pas et cherchent à imposer leur mode de vie. En l’absence de vision d’avenir, la loi du plus fort s’impose ; d’où des conflits, des batailles territoriales et finalement la guerre totale…
Il n’y a pas de vainqueur, lorsque chaque famille y perd un enfant ! La République est activement complice par son refus de maîtriser le basculement démographique et la dissolution culturelle.
Combien de temps encore notre société, sa culture et ses mœurs vont-ils résister aux attaques incessantes ? Le conflit « fantasmé » entre « blancs » et « racisés » risque de devenir réalité, à force d’être évoqué. Avant que l’antagonisme devienne affrontement, il est temps de… SONNER LE TOCSIN !
Olivier Leconte